Post by Luc on May 26, 2017 16:35:28 GMT -5
Vouloir que le PQ disparaisse, puis ne pas piffer l’idéologie de Québec Suicidaire ni celle de la CAQ, ça laisse à l’électeur le Parti libéral du Québec/Quebec Liberal Party, le plus vieux parti (150 ans), le plus usé des vieux partis usés. De fait, le PQ, qui n’a même pas 50 ans, a l’air d’un veau du printemps à côté de ça. L’usure, donc, ou plutôt la panne, en matière d’idées et des réalisations qui tendent vers le bien commun, on peut dire que le PLQ en souffre au moins depuis la fin du deuxième mandat de Bourassa, c’est-à-dire 1976. Ce parti n’est plus digne, depuis très longtemps et à plus forte raison depuis l’arrivée de Charest, de celui qui a bloqué l’Union nationale, créé un ministère de l’Éducation, adopté la loi 22 sur la langue officielle…
Ensuite, QS, qui ne sera jamais un parti viable pour moi. Trop débranché de la réalité et de la realpolitik, infiltré par des agité-e-s du bocal pervers-e-s comme Dalila Awada, qui nous a encore une fois démontré l’étendue de sa perfidie malsaine tout récemment. Et si on se dit de gauche, faut être de gauche, calvâsse. Jean-Luc Mélenchon est de gauche, sa position en matière de laïcité est cohérente, contrairement à celle de QS qui se définit comme féministe et tenant de la laïcité tout en favorisant le port du voile mur à mur. Puis cette connerie du reniement de l’entente signée avec Oui Québec… Lisons cette info tout juste ramassée sur R-C :
« L'ancien porte-parole de Québec solidaire Andrés Fontecilla s'est opposé à l'entente des OUI Québec sur la souveraineté après l'avoir lui-même signée. Manon Massé, co-porte-parole du parti, défend sa décision en disant que c'était une erreur de bonne foi et que l'entente avait été mal évaluée au départ. Elle précise que ce n'est pas la première fois qu'une telle situation se produit dans des négociations. »
Tantôt elle disait « imbroglio », maintenant elle dit « erreur de bonne foi ». N’importe quoi.
La CAQ, même pas le goût d’en parler.
Reste donc le Parti Québécois, qui m’a déçu moi aussi, souvent, du beau risque de Lévesque à André Boisclair, en passant par le déficit zéro de Bouchard. Ça demeure toutefois, pour moi, le meilleur des choix (ou le moins pire si vous voulez). Je préférerai toujours, pour le Québec où vivent et où vivront encore longtemps mes enfants, je l’espère, une formation politique à laquelle adhèrent des gens comme J.-F. Lisée, Véronique Hivon, Alexandre Cloutier, Maka Kotto, Agnès Maltais, Sylvain Bérubé et Carole Poirier, plutôt qu’un parti qui regroupe des Couillard, J.-M. Fournier, Laurent Lessard, Sébastien Proulx, Coiteux ou Leitão.
Ensuite, QS, qui ne sera jamais un parti viable pour moi. Trop débranché de la réalité et de la realpolitik, infiltré par des agité-e-s du bocal pervers-e-s comme Dalila Awada, qui nous a encore une fois démontré l’étendue de sa perfidie malsaine tout récemment. Et si on se dit de gauche, faut être de gauche, calvâsse. Jean-Luc Mélenchon est de gauche, sa position en matière de laïcité est cohérente, contrairement à celle de QS qui se définit comme féministe et tenant de la laïcité tout en favorisant le port du voile mur à mur. Puis cette connerie du reniement de l’entente signée avec Oui Québec… Lisons cette info tout juste ramassée sur R-C :
« L'ancien porte-parole de Québec solidaire Andrés Fontecilla s'est opposé à l'entente des OUI Québec sur la souveraineté après l'avoir lui-même signée. Manon Massé, co-porte-parole du parti, défend sa décision en disant que c'était une erreur de bonne foi et que l'entente avait été mal évaluée au départ. Elle précise que ce n'est pas la première fois qu'une telle situation se produit dans des négociations. »
Tantôt elle disait « imbroglio », maintenant elle dit « erreur de bonne foi ». N’importe quoi.
La CAQ, même pas le goût d’en parler.
Reste donc le Parti Québécois, qui m’a déçu moi aussi, souvent, du beau risque de Lévesque à André Boisclair, en passant par le déficit zéro de Bouchard. Ça demeure toutefois, pour moi, le meilleur des choix (ou le moins pire si vous voulez). Je préférerai toujours, pour le Québec où vivent et où vivront encore longtemps mes enfants, je l’espère, une formation politique à laquelle adhèrent des gens comme J.-F. Lisée, Véronique Hivon, Alexandre Cloutier, Maka Kotto, Agnès Maltais, Sylvain Bérubé et Carole Poirier, plutôt qu’un parti qui regroupe des Couillard, J.-M. Fournier, Laurent Lessard, Sébastien Proulx, Coiteux ou Leitão.